Salut, je suis Léna
J’occupe le poste de technicienne maintenance dans le bassin Grenoblois depuis septembre 2020
Salut, je m'appelle Léna
Je m'appelle Léna GRAND-CLÉMENT, j'ai 27 ans et je suis originaire de la région Grenobloise. Après avoir vécu à différents endroits en France et en Australie, je suis revenue en Isère pour me rapprocher de mes racines et de ma famille.
Mon expérience à Orona
J’occupe le poste de technicienne maintenance dans le bassin Grenoblois depuis septembre 2020.
Je suis diplômée d’un BAC+3 en maintenance industrielle. Après plusieurs années dans la maintenance des éoliennes au Puy-en-Velay, je suis revenue dans ma région natale. J’ai découvert ORONA par hasard lorsque je cherchais un emploi et je me suis reconnue dans le poste proposé.
J'apprécie l'autonomie dont je dispose ainsi que l'esprit de solidarité entre les membres de l'agence de Grenoble. Qui plus est, je suis en en contact direct avec les usagers et j'apprécie le fait de dialoguer avec eux, leur expliquer le déroulement du dépannage, les rassurer. J’aime le fait de ne pas avoir de routine, chaque jour est une nouvelle aventure !
Lors de mes premiers jours, j'ai reçu un très bon accueil de la part de toute l’équipe. J'ai pu découvrir avec eux les différentes tâches du poste ainsi que les techniques à utiliser pour les entretiens préventifs et curatifs.
Une journée type ressemble à un mélange entre une tournée d'entretiens préventifs, curatifs, de pannes et de réparations. Comme je disais précédemment, il n'y a pas de place pour la routine.
J'adore pratiquer de nombreux sports, notamment le parkour, le VTT, la course à pied. Étant assez manuelle, j'aime faire du bricolage et de la couture. J’aime aussi passer du temps avec mes proches et mes amis.
Je pense qu'il est essentiel de pouvoir faire le métier de son choix, sans se soucier des préjugés. Même si les femmes ascensoristes sont encore très rares, c'est un nouveau pas vers l'égalité hommes/femmes.
Ce que j'apprécie le plus
Sans préjugés
Je pense qu'il est essentiel de pouvoir faire le métier de son choix, sans se soucier des préjugés. Même si les femmes ascensoristes sont encore très rares, c'est un nouveau pas vers l'égalité hommes/femmes.